Jacques BOUTINET écrit des poèmes dès sa première poussée d’acné. Il n’en devient pas trafiquant d’armes en Afrique pour autant. Après quinze ans de galères dans tous les cafés-théâtres du royaume, il décide de se retirer pour écrire sérieusement – ou presque – dans la campagne du sud Gironde. A publié à ce jour plusieurs romans et commis quelques recueils de nouvelles. Sa prose ou ses vers, désabusés, ne l’empêchent pas, non de vénérer, mais d’apprécier certains « grands anciens » tel Louis Émié, poète dont l’œuvre a apporté un rayonnement encore mal reconnu, hélas, à la vieille ville de Bordeaux.